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Le Tableau du Samedi Clic sur logo

 

 

 

Publiée le  6 avril 2012 par

Au cinéma en Suisse Romande dès le 13 juin 2012.
Gerhard Richter, l'un des artistes contemporains parmi les plus influents au niveau international, a ouvert son atelier à la cinéaste Corinna Belz durant le printemps et l'été 2009 alors qu'il travaillait à une série de peintures abstraites de grand format.
 

 

Au centre POMPIDOU, à Paris :  Du 6 juin au 24 septembre 2012

 

"Je n'obéis à aucune intention, à aucun système, à aucune tendance ;   

Je n'ai ni programme, ni style, ni prétention. J'aime l'incertitude, l'infini et l'insécurité ..."

Nous dit l'artiste






"C’est quelqu’un qui a refusé d’être dans une catégorie une fois pour toute et de faire le travail que les observateurs, les critiques, le marché attendaient de lui. C’est quelqu’un qui a un peu déconcerté. »

 
Des œuvres d'une diversité inouïe. De la figuration entre portraits et paysages néo-réalistes ou nimbés de flou à la pure abstraction dans un festival de couleurs. Cette rétrospective Gerhard Richter  emporte dans un voyage monumental à travers la peinture sous toutes ses formes.
 

 

      Mon choix, cettte huile sur toile . 1988

102 x 60 cm

BETTY, la fille de l'artiste

 

St Louis Art Muséum

 

 

 

Extrait du site : ICI

"Nous arrivons au bout de cette brève exploration du portrait en peinture. Si la photographie s’est si bien emparée du réel, il restait aux peintres dépossédés à se venger. C’est un peu ce que fait Gerhard Richter qui utilise la photographie comme sujet de peinture, s’ingéniant à fabriquer des peintures qui ressemblent à des photographies, comme les pictorialistes, soucieux d’être pris pour des artistes, s’ingéniaient en leur temps à créer des photographies qui pourraient être prises pour des peintures. Mais voilà qui est intéressant : Richter propose un portrait qui doit nettement indiquer sa filiation photographique. Qu’y trouve-t-on ?

- Une scène peu profonde.
- Une profondeur de champ réduite.
- Un sujet qui ne se donne pas à voir, fait croire au cadrage instantané, à la scène volée.
- Un regard qui se tourne résolument vers le hors champ. "

 


 

 

 


 


Tag(s) : #Marmotte aime la Peinture