La septante sixième page de l'Herbier de poésie

Simplicité, abandon et retenue. Elle porte un sarrau rapiécé aux couleurs de la forêt.

Paisible, elle s'est endormie,

Elle présente un moment les traits poupins de l'enfance qu'elle vient tout juste de quitter. Ses grands pieds me le disent.

Son corps épouse les lignes du parvis et se réchauffe

aux derniers rayons du soleil qui reflètent sur son visage la chaleur de la pierre.

Elle dort.

Françoise  Jeudi 27 avril 2​017

L'enfance pour la page 76

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Comments

[Mallorca]

I am reading your post from the beginning, it was so interesting to read & I feel thanks to you for posting such a good blog, keep updates regularly.

[La Vieille Marmotte]

Merci Mallorca

[www.funwirks.com]

i love bahama mama and instain blushes that i got on ur reco...this looks good too on u!

[Mallorca]

The questions were flooding my brain, which ultimately led to crying. It was short and loud. I don’t really like crying unless I’m locked in my room crying over a sad movie.

[Noushka]

Elle dort...
""Elle" dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille"....
Heureusement, elle n'a pas.... 'deux trous rouges au côté droit"!!!
Superbe image et tes mots sonnent très-très juste!
Bises et belle semaine :)

[covix]

Bonsoir,
Une belle vision poétique du tableau et la musique colle bien à l'ambiance.
et si nous regardions les tableaux autrement!
Bonne soirée
Bises

[adamante]

J'aime la sobriété de ton texte, le concerto accompagne magnifiquement et le texte et l'image. Merci.

[jamadrou]

Brahms enveloppe d'une émouvante et douce chaleur ton texte et ce beau tableau